Voici deux romans du même poète, l’un archiconnu, l’autre presque ignoré, rassemblés par les nécessités de l’édition et les contingences de la recherche, séparés dans l’histoire par plus de trente années, par la quasi-totalité de l’œuvre lyrique et épique, par la masse énorme des Misérables. Contemporains l’un de la révolution de Juillet, l’autre des premiers temps de la Première
Internationale.
Livre imprimé en France
Bibliothèque de la Pléiade